Faut Pas Penser
Ils ont 17 ans et ils s’aiment... Pas si simple ?
Raphaël Gressier
A 12 ans, il entre au Cours Florent en dernière année d’Atelier Enfant. Il a ensuite suivi toutes les années d’Atelier Jeunesse jusqu’à ses 18 ans.
En classe de Seconde, il intègre le Cours Saint-John Perse où il commence l’option cinéma avec le professeur de cinéma Christian Debackère.
Durant cette première année, il participe à un court métrage d’élèves de Terminale « Les Timbrés » et il joue l’un des premiers rôles dans un court métrage réalisé par les élèves de sa classe de Seconde « Les super zéro ».
C’est en classe de Première qu’il rencontre Sully Ledermann et au cours de cette année ils participent à trois courts métrages.
Ils réalisent leur premier court métrage ensemble Faut pas penser mais ont aussi tenu les deux rôles principaux dans deux courts métrages Laisse moi partir et Pour mon bien.
Pendant l’année de Terminale, ils réalisent ensemble et avec l’aide d’autres camarades deux courts métrages T.I.G et Là où cette eau jaillit.
Durant cette même année, il tiens le rôle principal dans un court métrage Avril réalisé par ses camarades de Terminale.
Aujourd’hui, il est en première année de cursus professionnel au Cours Florent.
Il a plusieurs projets cinématographiques en temps qu’acteur dans des courts métrages et en tant qu’acteur réalisateur avec son professeur Christian Debackère et son ami Sully Ledermann.
Sully Ledermann
Sully est un jeune acteur et réalisateur. Né en décembre 1996 en banlieue parisienne. Il fait ses études primaires à l’école Perceval (Chatou). Dans ce cadre on lui propose un cursus artistique atypique sous la direction de Florence Stoll.
En septembre 2012 il intègre l’École Saint-John Perse en classe de seconde. Il découvre le cinéma dans le cadre de l’atelier de réalisation et participe au tournage d’une dernière soirée .
C’est à 16 ans qu’il réalise son premier court-métrage Laisse moi l’OD.
Septembre 2013 c’est le début de l’histoire de Faut pas penser. Sully change d’établissement pour intégrer la classe de première L cinéma du Cours Saint-John Perse (14éme) c’est là qu’il rencontre Raphaël Gressier. Ils décident de réaliser un court-métrage dans le cadre de l’épreuve des travaux personnels encadrés des épreuves anticipées de première. A l’issue de cette épreuve il obtient la note maximale de 20/20. Octobre 2014 premier festival première récompense. Le festival Tournez Jeunesse attribue le premier prix au film Faut pas penser.
Sully travaille à l’écriture d’un nouveau court métrage et en fini avec ses années Lycée.
Christian Debackère
Est un réalisateur et producteur de documentaire il enseigne le cinéma et l’audiovisuel au Cours Saint-John Perse depuis septembre 2008, il assure l’encadrement des ateliers de réalisation de courts-métrages du scénario à la post production, des classes de secondes, premières et terminales (8 films par an en moyenne). Il assure également l’enseignement théorique en seconde, premières et terminales. Il intervient régulièrement dans d’autres établissements : le lycée Montaigne, le lycée Gregor Mendel… A l’occasion d’activités bénévoles à la FFRS Christian a travaillé avec divers magasines de Roller et a publié des articles et reportages (textes et photos) sur les compétitions internationales de roller Street et Half Pipe à Moscou, Amsterdam et Los Angeles. Après une double formation dans une école de réalisation parisienne et à l’UFR de cinéma de la faculté Paris 3 Sorbonne Nouvelle, il réalise deux films documentaires :
Philippe Candeloro l’année du parrain Vidéo 26 minutes 1994. Diffusion Planète câble avril 1995 et décembre 1996. Portrait du patineur artistique et de son entourage lors de la saison olympique d’hiver de 1994.
Les rollers de la défense vidéo 26 minutes 1993. Diffusion FR3 « Saga cité » et vidéothèque de Paris. Histoire de la création du club et de la naissance d’un sport : le roller acrobatique.
Le Cours Saint-John Perse
Depuis vingt ans au Cours Saint-John Perse, à Paris, on prépare le bac et l’option cinéma. On la prépare de manière artisanale, sens de l’aventure, rigueur. Petite escouade d’une dizaine d’élèves mordus par le septième art. Chacun peaufine son scénario et puis il y a les discussions, Le tournage pendant plusieurs jours jusqu’à parfois une heure avancée de la nuit. Un élève s’occupe de la musique, un autre de la bande son, trois mettent au point le scénario, un repasse sur les dialogues, quatre ou cinq jouent,, l’enseignant est là en chef d’orchestre rassemblant tout ce petit monde avant le miracle du film.
A Saint-John Perse, on commence en seconde par un court métrage la plupart du temps drôle, , en première on étudie et on filme, on raconte l’époque et en terminale, c’est l’examen et l’épreuve facultative, un grand moment qui est souvent un bon moment.
Et cette année à marquer d’une pierre blanche, suite à de nombreuses demandes de nos élèves, ouverture d’un BTS audiovisuel sous l’égide de Christian Debackère.
